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| Les possibles effets positifs ET néfastes
du TOUT numérique Lorsque les organisateurs sont lucides, les accès aux hall d'expo se passent bien mieux qu'il y a quelques années. En effet, les horaires de jugements sont définis d'avance et il est devenu inutile de se précipiter pour être à 8h devant les portes des parcs expo. Il suffit de venir 1h avant le début des jugements. Le TOUT numérique. Engagements et paiements en ligne sont en place depuis des années et la disponibilité du catalogue au format numérique se généralise. Le livret est toujours disponible contre 5 ou 7 € .... et cette évolution engendre des économies substancielles aux organisateurs. Moins de "papier"= moins de frais.... mais c'est resté sans effet sur le prix des engagements. Les résultats sont également "ON LINE" plus rapidement qu'avant, parfois même en temps réel. La disponibilté "ON LINE" du catalogue dès 7 h du matin, parfois déjà la veille pourrait néanmoins avoir des effets pervers. S'il est consultable par les exposants et tous ceux qui sont connectés. Il l'est également pour le jury... alors que jadis les juges intègres n'étaient pas invités à consulter le catalogue avant la fin du concours pour des raisons qui se comprennent. CQFD |
Le BON COIN et les Groupes FB regorgent de vendeurs de chiots en général et de SAINT BERNARD en particulier. On constate une baisse sensible de la demande (les gens ont d’autres priorités par les temps qui courent) Par contre l’offre ne s’est pas adaptée et les « usines » à chiots continuent à produire. S’y rajoutent les élevages « PASSION » qui se transforment parfois en élevage « POGNON » Ils enchainent les portées sans "visibilité" et du coup, la vente de chiots commence à devenir difficile. On sait bien qu'après 3 ou 4 mois, les chiots deviennent plus difficiles à placer. Les chiffres parlent : plus de 250 chiots STB sont nés depuis le 1 juillet 2023 en France et on trouve encore des annonces pour des chiots nés au printemps. En plus, faut pas oublier que s'il y a 250 chiots inscrits au LOF, il en nait à peu près AUTANT de NON LOF bradés à moins de 1000 € !!! A l’étranger ce n’est pas beaucoup mieux, les demandes se font plus rares partout, l’offre devient internationale et le volume disponible s’amplifie de plus belle. En Europe : PLUS de producteurs, PLUS de naissances, MOINS d'acheteurs. La redoutable conséquence, c’est la chute des prix. On voit des offres de chiots LOF passer de 1500 € à 800 € en quelques mois. La surproduction tire les prix vers le bas et pourrait provoquer à terme, une crise financière dans les élevages. Alors que les tarifs des vétos explosent, que le prix des aliments ont pris 20 à 30%, les énergies (électricité, gaz, pétrole) ne baissent pas, le coût de la vie grimpe ET le prix de vente des chiots s’effondre. Le système risque d'imploser si rien ne change. On va dire que c’est la loi de l’OFFRE et de la DEMANDE…. Le problème c’est que dans notre domaine on travaille sur du VIVANT et en cas de surproduction, on ne peut ni stocker, ni mettre au congélateur jusqu’à ce que le marché redémarre … si un jour il redémarre. ALORS, Y A-T-IL TROP DE CHIOTS SAINT BERNARD
SUR LE MARCHE ???
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| L’histoire se répète à
intervalle irrégulier, mais depuis le début de l’aventure,
nous sommes une cible… visée par des gens plus ou moins crédibles
encore moins recommandables. La surprise vient nous cueillir lorsque l’on
apprend l’impensable. Des bâtons dans les roues, des clous semés, des peaux de bananes sur lesquelles nous devrions trébucher, des manœuvres en coulisse alors qu’on pourrait s’attendre à une confraternelle claque dans le dos. Ceux qui pensent jouer double jeux impunément se font TOUJOURS démasquer un jour ou l’autre, le passé nous l’a démontré et l’avenir des diviseurs s’annonce solitaire et misérable. Ce n’est qu’une question de temps et d’opportunité. Heureusement que règne une solidarité entre ceux qui ne trichent pas avec l’amitié et préservent la ST BERNARD ATTITUDE alors on reste positif et on adapte la riposte aux attaques. |
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C’est un peu une tradition, après
chaque exposition majeure, les « Langues de pute »
refont leur apparition comme les limaces après la pluie. Elles accusent de connivences, de magouilles, d’ententes préalables, de copinages, de favoritisme et autres affabulations. Elles prétendent connaître la Vérité tout en lâchant leur venin sur des gens qu’elles ne connaissent pas, voire qu’elles n’ont jamais rencontré. Elles accusent les juges de tricheries et de complicité avec le Club de race (donc le Président et son comité) Elles se plaignent de voir TOUJOURS les mêmes qui gagnent, du coup elles accusent aussi les exposants récompensés d’escroqueries organisées. Voilà un peu le profil des personnes toxiques qui basent leurs médisances sur :
Je pense qu’elles n’ont surtout RIEN d’autre à faire de leur vie, du moins RIEN de positif On résumera cela par un manque
de RESPECT et de SAVOIR ETRE
En 30 ans de pratique, on en a vu de
toutes les « couleurs » et ne sommes plus affectés
par ces parasites nauséabonds. On est vaccinés
Les plus jeunes qui ont le courage de se lancer dans l’aventure devront renforcer leur carapace face à la bave que crachent ces limaces en gardant le cap qu'ils se sont fixés sans tenir compte de ces cafards . La meilleure réponse aux imbéciles est le silence. 
CQFD |
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La SAINT BERNARD attitude.....!!!
Beaucoup de gens choisissent cette race pour ses qualités physiques, son caractère et sa complicité avec l'homme. Elle doit son nom à Bernard de Menthon qui avait crée une des premières structure d'accueil dès l'an 1050. Force, volonté, gentillesse, et la générosité des hommes de l'hospice du col , formaient un véritable état d'esprit . Les exploits du Saint Bernard sont magnifiquement exposés par les récits du chanoine MEILLAND en 1852, par le Pasteur BRIDEL en 1801 ou encore par monsieur TSCHUDI en 1858 et bien d'autres . Le courage, l'abnégation, la générosité et la fidélité reviennent à chaque épisode relatant les opérations de sauvetage en montagne, le tout piloté par les marronniers et les chanoines qui offraient l'hospitalité aux voyageurs. Ces qualités sont toujours présentes chez nos chiens, mais exploitées différemment. Nous devrions tous nous interroger et faire un examen de conscience. Sommes nous dignes de nos chiens, de leur histoire, de leur légende, méritons nous leur fidélité, 
avons nous la SAINT
BERNARD ATTITUDE 
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